DECLARATION DE L’ACAT-BURUNDI SUR LA RESTRICTION DU DROIT A LA COMMUNICATION DES PERSONNES PRIVEES DE LIBERTE

Acat-Burundi encourage la JUSTICE burundaise à continuer dans cette bonne voie de libérer tous les prisonniers détenus injustement comme c’était le cas pour Germain Rukuki

Le droit à la communication des personnes privées de liberté avec l’extérieur est un droit reconnu par les textes régissant la protection des prisonniers tant au niveau interne qu’à l’échelle internationale à savoir les règles minima de protection des détenus adoptées par le premier congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et le traitement des délinquants tenu à Genève en 1955 et approuvé par le conseil économique et social dans ses résolutions 663 C du 31 juillet 1957 et 2076 du 13 mai 1977 et la loi numéro 1/24 du 14 décembre 2017 portant révision du régime pénitentiaire au Burundi.
Malgré cette exigence légale, il y a plus d’une année, la Direction Générale des Affaires pénitentiaires du Burundi a suspendu les visites dans toutes les prisons du Burundi arguant que c’est dans l’objectif d’éviter la propagation de la pandémie de la Covid -19 dans les établissements pénitentiaires.

Veuillez trouver en bas l’intégralité de la déclaration :
Déclaration de l’Acat-Burundi sur la restriction du droit à la communication pour les personnes privées de liberté

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