RAPPORT CONJOINT DE LA SOCIÉTÉ CIVILE BURUNDAISE AU TERME DES 100 JOURS DU REGIME DE NDAYISHIMIYE EVARISTE


Lors de la désignation du nouveau président, plusieurs burundais avaient nourri l’espoir d’un changement évident caractérisé par l’arrêt de la violence, le respect des droits de l’homme, la libération des prisonniers ainsi que le retour des réfugiés burundais.
Le peuple avait également espéré la réouverture de l’espace politique et civique, le redressement de l’économie et des mesures à même d’endiguer la pauvreté toujours galopante.
Malheureusement, force est de constater que le gouvernement dirigé par Evarisste ndayishimiye est plutôt synonyme de la continuité du régime criminel qui tue, torture, exile les citoyens et pille le pays depuis biens des années, particulièrement depuis 2015.
Les pratiques d’exclusion et de haine ethniques sont réapparues et la peur s’installe dans le pays et ont été exacerbées par les récentes attaques rebelles.
Le peuple a faim. L’éducation et le système de santé dégringole continuellement.
Comme son prédécesseur, le président Evariste Ndayishimiye a rompu le dialogue interburundais, cherche à maintenir des relations tendues avec les voisins et partenaires du Burundi.
Les organisations de la société civile burundaise dont l’ACAT-BURUNDI ont préparé un rapport au terme de ces 100 jours du régime Ndayishimiye Evariste.

Veuillez trouver en bas le rapport conjoint de la société civile et une déclaration y relative :
RAPPORT CONJOINT SOCIETE CIVILE BURUNDAISE AU TERME DES 100 JOURS DU REGIME NEVA 28 Sept 2020
Déclaration des organisations de la société civile indépendante après 100 premiers jours du mandat du Président Evariste Ndayishimiye

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