Les organisations signataires de la présente déclaration sont profondément préoccupées par la violation des droits humains et des libertés fondamentales ainsi que le verrouillage de l’espace civique au Burundi. La journaliste Sandra Muhoza, détenue arbitrairement depuis le 13 avril 2024, se trouve être l’une des nombreuses victimes de cette situation dramatique. Les organisations signataires demandent instamment sa libération.
Veuillez trouver en bas l’intégralité de la déclaration :
Appel_à_la _ibération_de _la _Journaliste_Aline Sandra Muhoza_28022025 (2)