Cette recommandation au conseil des droits de l’homme a été formulée par les organisations FIACAT et ACAT-BURUNDI lors du Dialogue interactif avec le Rapporteur Spécial sur la situation des droits de l’homme au Burundi à Genève le 23 septembre 2024.
Me Armel Niyongere, président de ACAT-BURUNDI qui a prononcé la déclaration a attiré l’attention du Conseil sur les graves violations des droits humains qui continuent d’être documentées, l’impunité des auteurs de ces violations, le rétrécissement de l’espace civique et la militarisation de la milice des Imbonerakure dans le contexte pré-électoral etc.